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jeudi 14 juillet 2011

Allemagne: nous peut vivons sans argent

Heidemarie Schwermer vit sans argent

Elle vit sans utiliser d'argent depuis 15 ans


Une Allemande de 69 ans a fait le choix de délaisser son argent pour privilégier une vie plus simple. Elle mène 
son existence entre échanges de biens et de services pour être heureuse et débarrassée de ce qui n’est pas essentiel.
C’est en Allemagne que vit Heidemarie Schwermer, une femme de 69 ans qui a mis de côté l’argent pour mener l’existence qu’elle souhaitait, rapporteOddityCentral. Son histoire commence il y a 22 ans lorsqu’elle déménage avec ses deux enfants à Dortmund en Allemagne. Enseignante, elle sortait à l’époque d’un mariage difficile. Elle a alors été frappée par le nombre de personnes vivant dans la rue, et a décidé d’agir à sa manière en ouvrant une boutique de troc, appelée "Gib und Nimm" ("Donner et prendre").
Là, chacun était à même d’échanger toutes sortes de services ou de biens contre ce dont il avait besoin sur le moment. De vieux vêtements pouvaient être changés contre une tâche de plomberie ou inversement. Les sans-abris n’ont pas été les plus intéressés par le système, mais de nombreux chômeurs ou retraités ont pris d’assaut la "boutique". L’établissement est rapidement devenu un phénomène dans la ville et a amené Heidemarie à s’interroger sur sa propre existence.
Une prise de conscience
Elle a rapidement réalisé qu’elle possédait bien plus que le nécessaire, et qu’elle ne s’épanouissait pas dans son métier. Elle a changé d'emploi pour devenir plongeuse pour 10 Deutchmarks de l’heure (environ 5,11 euros). Malgré l’incompréhension de ses proches vis-à-vis de cet emploi en regard de ses études, elle se sentait bien ainsi. En 1995, elle a pris conscience qu’elle ne dépensait presque rien et que tout ce dont elle avait besoin semblait se présenter à elle naturellement. C’est ainsi qu’en 1996 elle a pris la plus grande décision de sa vie, à savoir vivre sans argent. Ses enfants ayant déménagé, elle a revendu son appartement et a décidé de vivre de façon nomade, en échangeant les biens et services selon ses besoins. Ce qui devait être une expérience de douze mois est devenu le mode de vie de Heidemarie depuis aujourd’hui 15 ans.
Se débarrasser du superflu
Heidemarie vit ainsi selon le principe de l’échange et du troc. Elle est parfaitement heureuse et épanouie ainsi. Dans le reportage intitulé "Vivre sans argent", elle explique que l’argent éloigne de l’essentiel, et que se débarrasser du superflu permet un mode de vie plus sain et heureux. Elle a écrit deux livres sur sa condition et a demandé à ce que les recettes soient reversées à des œuvres de charité pour faire le bonheur d’autres personnes. Elle-même se contente de son rythme sain et simple. Tous ses biens tiennent dans une valise et elle ne possède que 200 euros en "cas de besoin". Elle ne bénéficie d’aucune aide sociale, ne voulant pas être accusée de "profiter du système". Sa santé repose sur son potentiel d’auto-guérison...

Monaco: le couple afficherait un comportement étrange pour de jeunes mariés

Albert et Charlene : un comportement bien étrange


Albert et Charlene

Ce qui devait être un conte de fée pour Charlene vire au cauchemar. La jeune mariée ne dort pas dans le même hôtel que son mari.
C’est un bien étrange voyage de noces pour Charlene Wittstock. Une semaine après avoir dit « OUI » à Albert II, la jeune mariée, de retour sur ses terres sud-africaines, doit se sentir bien seule.
Après avoir fêté de nouveau leur mariage en Afrique du Sud avec leurs amis qui n’ont pu venir à la cérémonie monégasque, Albert et Charlene auraient décidé de ne pas dormir dans le même hôtel, selon l’agence locale News24. Une information confirmée par Joanne Hayes, porte-parole de l’hôtel Oyster Box Hotel à Umhlanga Rocks (prononcez Oumchlanga) où nos jeunes mariés devaient séjourner… ensemble. Joanne Hayes confirme que Charlene a bien passé quelques nuits dans la suite Buthelezi, sans pour autant confirmer la présence du prince Albert à l’hôtel. Normal : ce dernier logeait au Hilton de Durban, distant d’une quinzaine de kilomètres.
Selon plusieurs observateurs sud-africains, le couple afficherait un comportement étrange pour de jeunes mariés. Lors d’une réception où ils ont rencontré le Président sud-africain Jacob Zuma ils seraient arrivés dans la même voiture, mais auraient quitté la soirée dans deux véhicules différents, selon Gavin Prins du journal sud-africain Citypress, qui raconte : « Quand les photographes ont demandé au couple de s’embrasser, il y a eu un moment de flottement. Charlene tourna la tête et Albert lui donna un baiser sur la joue »
Bizarre, vous avez dit bizarre ?

Monde: une regarde sur l économie dans ce premier semestre

Bilan du premier semestre


Reprenons, point par point, l'environnement dans lequel nous avons évolué au cours de ce premier semestre.
La Chine est confrontée d'une part, à une forte inflation et tente de la ralentir en montant ses taux, et d'autre part à une bulle immobilière qui ne cesse d'enfler et dont on sait qu'elle contribue largement au montant astronomique de créances pourries dans les banques évaluées autour de 540 MDS de $ soit 10 % du PIB. En outre, 2 000 des 3 000 MDS de réserve de change sont en dollar ce qui, du fait de la politique américaine, est devenue un véritable casse tête pour les autorités chinoises qui aimeraient bien se débarrasser de cette monnaie « fondante » mais qui ont du mal à trouver des acheteurs et des actifs de remplacement(pas le yen pas l'euro….).
Le Japon, déjà en récession avant la catastrophe du 11 mars, est à l'agonie depuis 20 ans, avec un endettement de 225 % avant le tremblement de terre et qui sera probablement de 250 % en 2012.
Ce taux d'endettement qui annihile toute croissance, n'est probablement plus absorbable par une population vieillissante. Il faudra donc aller sur les marchés internationaux où les investisseurs demanderont des taux plus élevés que les taux actuels (1,17 sur 10 ans). Les Japonais ne pourront alors plus payer, et là, fin de l'histoire…
Le Brésil est étranglé par la hausse des taux à plus de 12 % et par celle du real due à la défiance envers les autres monnaies qui pèse sur ses exportations.
La Grande Bretagne, coincée entre récession et inflation utilise la même recette que les américains, la fuite en avant, la planche à billet alors même qu'ils savent que c'est en pure perte puisque l'argent imprimé ne circule pas.
L'Europe, qui a pris une position dogmatique de sauvetage à tout prix de l'euro plutôt que de reconnaître qu'il a été mal conçu au départ, en essayant de gagner un peu de temps, nous enfonce dans la crise et rend la situation de moins en moins maîtrisable.
Les pays aujourd'hui en crise, l'Irlande, la Grèce, le Portugal, l'Espagne ne rembourseront jamais car ils sont structurellement incapables de générer une croissance suffisante pour faire face au coût et au remboursement de leurs dettes.
Combien de temps les peuples des pays en crise vont-ils accepter de se sacrifier sur l'hôtel idéologique d'un euro mal conçu par de petits fonctionnaires européens à la pensée étriquée, pour sauver des banques dont la seule fonction est de distribuer des bonus à ses dirigeants et de tondre leurs clients ?
Combien de temps les peuples des pays soi-disant en bonne santé vont accepter de payer pour les autres et pour éviter la faillite de quelques banques qui ont multiplié les erreurs mais qui ne s'en sentent pas le moins du monde responsables ?
Le Moyen Orient mérite plus que jamais son statut de poudrière avec les révolutions du printemps arabe qui sont loin, pour la plupart, d'avoir connu leur épilogue, avec l'Iran qui continu d'enrichir de l'Uranium pour fabriquer une bombe nucléaire, les Israéliens qui ne pourront pas vivre longtemps avec une telle menace et l'Arabie Saoudite qui elle aussi a peur et qui a annoncé qu'elle se doterait de l'arme nucléaire si l'Iran en avait une.
Le Pakistan, repère de terroristes, qui, lui, a déjà l'arme nucléaire…
Les Etats-Unis, repère de deux terroristes nommés Bernanke et Geithner, qui ont en leur possession deux armes infiniment plus dangereuses que l'arme nucléaire, à savoir la politique monétaire et la dette.
Monsieur Bernanke ne connait qu'une politique, Taux bas et Quantitative Easing (QE), qui a conduit les Etats Unis dans une impasse totale.
Sa politique a échoué complètement et nous en avons la preuve toutes les semaines depuis six mois : le QE ne crée pas d'emploi, le QE ne fait pas repartir l'immobilier, le QE ne relance pas la croissance.
Au vu de la dégradation des chiffres macroéconomique de ces derniers mois, la probabilité d'un double dip augmente même de façon exponentielle !
Le QE consiste à donner de l'argent gratuitement aux banquiers qui l'emploient à spéculer sur les matières premières ou à souscrire aux adjudications du trésor US avec une garantie de rachat par la FED la semaine suivante avec une petite plus-value. Les banques dans ce schéma se gardent bien de financer l'économie, trop risqué pour elles !!!
L'endettement des Etats-Unis, le montant des créances pourries dans les banques, le taux de chômage sont devenus tel aux USA que le risque systémique n'a jamais été aussi élevé.
Dans cet environnement, comme on l'a vu quasi idyllique, qu'ont fait les marchés ?
Sur le FOREX, malgré tout ce qui se passe sur l'Euro, le dollar continue de baisser ce qui laisse imaginer la valeur que l'on peut donner à ces deux monnaies.
D'où la question pour un gérant : en quoi doit-il libeller ses actif s'il ne veut pas perdre toute valeur.
De plus, cela pose la question de la viabilité des fonds euro des assureurs.
Le marché des governement bonds est complètement sinistré en Europe et aux USA. Il va très probablement piéger encore de nombreux investisseurs car, si aujourd'hui il valorise clairement une récession et sert de refuge pour ceux qui fuient les actions, la très forte augmentation de sa volatilité indique qu'il perd son statut d'actif sans risque et que ce marché est sur le point de craquer. Il est en effet incapable d'absorber les montants gigantesques des émissions mondiales.
Le marché des corporate bonds est déjà tellement suracheté que certains sont en taux négatifs sur six/neuf mois.
Les marchés actions, ici il est inutile de chercher la moindre lueur d'intelligence dans le pricing de cet actif, vous perdriez votre temps. Durant tout le premier trimestre, plus les nouvelles étaient mauvaises, plus les marchés montaient car cela impliquait que Monsieur Bernanke allait continuer d'imprimer des dollars. Il a fallut attendre le mois de juin pour voir enfin les marchés baisser avant d'annuler cette baisse en trois jours sur la fin juin. Pendant cette amorce de repli, le discours est resté constant : « le marché n'est pas cher, les résultats sont bons ». Or, s'il est vrai que les résultats sont bons, ils ne vont pas le rester car ils ont été obtenus au prix d'un chômage hors norme, plus structurel que conjoncturel. De plus, le prix d'une action est composé de deux facteurs, la capacité de génération de résultats d'une part et son taux de capitalisation d'autre part. Et sur ce dernier, il y a beaucoup à dire.
Aujourd'hui, les marchés se calent sur des taux de capitalisation historiques, sans tenir compte et du risque considérable engendré par le dérapage mondial de la dette, les créances pourries des banques, et l'utilisation de façon inconsidérée de l'effet de levier, et du changement total de modèle économique avec des pays du troisième âge surendettés (occidentaux) à tous les niveaux et des pays émergents obligés de leur prêter et de ralentir leur croissance interne pour ne pas trop vite aggraver l'état des ancêtres. Rapportez ce schéma à une population ou même à une famille, la conclusion viendra toute seule !
On peut se demander pourquoi, avec un tel environnement, nous ne sommes pas déjà sur les objectifs de nos joyeux prévisionnistes soit 4 500-4 700 sur le CAC 40, 1 450-1 500 sur le S&P 500.
En fait, dans ce contexte, les taux de capitalisation devraient varier entre 7 et 10 et non pas entre 12 et 15 comme actuellement.
Mes objectifs sont donc de 2 000-2 500 sur le CAC 40….550-600 sur le S&P500.
Bon second semestre !
Olivier Delamarche est le Président de la société Platinium Gestion

Algerie: la développement de grevé de air algerie

Le PDG d’Air Algérie annonce une vague de licenciement au sein des meneurs de la grève

Air algerie en gréve
Le PDG de la compagnie aérienne Air Algérie, Mohamed Salah Boultif, est sorti mercredi 13 juillet de son silence pour annoncer des licenciements au sein des grévistes. Il a également indiqué qu’il restait ouvert au dialogue avec syndicat naviguant. Air Algérie est paralysée par un mouvement de grève depuis lundi 11 juillet. Des milliers de passagers sont encore bloqués en Algérie et en France.

« On a opéré des licenciements. Donc, tout d’abord à l’encontre des meneurs de cette grève qui est, je le répète, encore une fois, est illégale. Nous continuons à distribuer des  réquisitions pour tous les PNC programmés journée par journée. Et il est clair quand il y a défection ou refus d’obtempérer, on passe à des licenciements systématiques », a-t-il déclaré à la radio chaine III mercredi, au troisième de grève qui paralyse la compagnie nationale.
Toutefois, M Boultif n’a pas précisé le nombre de personnes touchées par ces décisions de licenciements.
Le PDG qui fait face à la plus grave crise que connait Air Algérie depuis 1963 a annoncé qu’il restait ouvert au dialogue avec le personnel naviguant et demande l’arrêt de la grève.
« Les portes du dialogue sont ouvertes, on appelle encore une fois à la sagesse de ce collectif.  Le dialogue n’est jamais rompu.  J’insiste, je reste disponible a tout dialogue, ce que je demande a ce qu’il y a reprise de travail», a-t-il ajouté.
Le personnel d’Air Algérie a entamé lundi 11 juillet une grève pour revendiquer notamment une hausse de 100 % des salaires, ce que la direction a refusé d'accorder. Ce débrayage, le deuxième après celui du 15 juin dernier, a provoqué de graves perturbations du trafic de la compagnie.
Le directeur de la compagnie a tenté de rassurer les usagers en indiquant que plusieurs vols ont été assurés au cours de la journée du mercredi. Mercredi. Il a affirmé que divers vols sont prévus vers la France avec prise en charge de 4 370 passagers, 14 vols à l’international (3980 passagers) et 34 vol ( 4100 passagers) sur les réseau domestique.
Aigle Azur et Air France vont affréter chacune deux avions supplémentaires mercredi à destination d'Alger, alors que des milliers de passagers sont bloqués dans des aéroports en France à cause de cette grève.
Prés de 200 vols ont été annulés en Algérie et en France causant une véritable pagaille dans les aéroports. Des milliers de voyageurs n’ont pas pu prendre l’avion en cette période de vacances estivales.